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Être bien, ça s'apprend.



Longtemps j’ai pensé que certaines personnes arrivaient au monde avec un « don », le don d’être heureux, que pour eux la vie était facile, plus facile que pour moi en tout cas, moi je faisais plutôt partie de la « tribu » des tourmentés, j’étais née comme ça, c’était ma « nature », il fallait faire avec.

Une sorte de fatalité en somme, de division innée de l’humanité : les joyeux, les mélancoliques, les torturés, le « bonnes natures », les « mauvaises natures »…

Les années passant, j’ai réalisé que la « nature » n’avait rien à voir là dedans, qu’il s’agissait beaucoup plus d’un conditionnement, inconscient.

Notre psyché se forme, in utero et toute la vie, à partir de ce que nous vivons, consciemment et inconsciemment, c’est le propos de la psychanalyse/de la psychothérapie. Quand j’ai découvert ça, un monde s’est ouvert à moi, cette thérapie de mise à jour, a été le point de départ vers la « reconquête » de moi-même.

J’ai travaillé beaucoup (et je continue à le faire) à la mise à jour des schémas qui dirigeaient ma vie, à mon insu.

Je reproduisais les mêmes situations, les mêmes impasses, les mêmes douleurs… Une fois ces schémas mis à jour, je ne savais qu’en faire ?

La « mise à jour » était certes, un prérequis, mais je ne parvenais pas à le dépasser.

Cette « phase » a duré longtemps, jusqu’à ce que je découvre le coaching, une discipline qui étudie le fonctionnement de notre cerveau et qui nous apprend « à nous en servir ».

« N’importe quoi, je suis née avec mon cerveau, c’est inné, je sais m’en servir sans l’avoir appris, c’est quoi ce bullshit ! » voilà ce que j’ai pensé la première fois qu’on m’a parlé de ça… J’étais une fille éduquée (j’avais fait des études universitaires, j’avais un Master de littérature, un Capes de lettres, ça prouvait quand même bien que je savais me servir de mon cerveau !).

Comme je suis curieuse (très), que j’adore apprendre de nouvelles choses, je n’ai tout de même pas fermé la porte et j’ai creusé le sujet, surtout, j’ai fait de moi mon premier cobaye, Dr Frankenstein appliquée, j’ai expérimenté, j’ai lu, j’ai appris les outils, je me suis fait coacher : après tout, à part de l’argent, qu’avais-je à perdre ?

Peu à peu, ma vie a changé, drastiquement, j’avais mis entre moi et mes pensées un observateur, neutre, pas englué dans le « drama » de mon existence ; cet observateur m’ a montré que mes pensées n’étaient pas moi, mais le fruit d’un tyran intérieur, une sorte d’intégriste conservateur, qui, par terreur du changement se cramponnait à des pensées périmées, limitées, limitantes, des pensées qui me pourrissaient la vie, à mon insu.

J’ai appris les outils, les méthodes (le coaching est une méthode beaucoup plus « scientifique » qu’on ne l’imagine), je suis retournée à l’école (j’y suis encore et pour un long moment, je n’ai pas l’intention de m’arrêter là).

J’ai appris.

Comme on m’avait appris les mathématiques, la géographie, l’histoire, les sciences naturelles… parce ce que, si on ne m’avait pas enseigné ces disciplines je n’aurais pas pu les deviner, c’est évident.

Et pourtant… personne ne m’avait jamais appris comment fonctionnait mon cerveau, mes pensées, ma psyché, mes émotions (que je subissais aussi).


C’est pourtant la fondation de nos existences : ne pas être victime de soi-même, l’apprentissage le plus important que l’on puisse faire et l’école n’enseigne rien de cela.

Et pourtant… Etre bien ça s’apprend.

Ce n’est pas « un don », c’est un apprentissage, comme tout apprentissage, il nécessite du travail, des exercices, de l’engagement, de la motivation, de l’entraînement.

C’est ainsi que j’ai conçu un programme « Etre bien, ça s’apprend », il dure six mois, six mois au cours desquels je vous transmettrai tous les outils que j’ai appris (et bien davantage), six mois à vos côtés pour faire ce grand travail d’apprentissage et de tri : ce qu’on garde, ce dont on ne veut plus, (pourquoi on crée tout ce bordel dans notre tête ?) ce travail de « nettoyage » effectué, le travail de « reconstruction » peut commencer, sur des bases solides, vraies : les vôtres (pas celles, inconscientes, de votre conditionnement social et éducatif),ce qui vous appartient vraiment, vous.


J’ai adoré faire ce travail, il a changé ma vie, il continue, chaque jour, c’est le plus beau cadeau que je me sois jamais offert.

J’ai investi sur moi.


Si ce programme vous intrigue, vous intéresse, vous questionne, contactez-moi, je vous offre une première séance au cours de laquelle je vous donnerai un aperçu de ce qu’est le coaching.


Let’s be curious !

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